De nouvelles vies au Printemps grâce à vous !

De nouvelles vies au Printemps grâce à vous !

A l’occasion de ce printemps 2022, en chemin vers Pâques, nous sollicitons votre générosité. 

Ensemble donnons Vie à l’Avenir ! Avec vous, nous pouvons poursuivre nos missions d’accueil pour ces nouvelles mamans enceintes ou avec leurs nouveau-nés. Depuis le début d’année 2022, 20 femmes ont déjà été accueillies. 

Cette semaine une naissance est attendue…

Comme beaucoup d’entre vous, nous avons aussi proposé de l’aide aux réfugiées ukrainiennes afin de permettre à de jeunes mères de poursuivre leurs grossesses. 

Merci pour votre généreuse fidélité à nos côtés !

Vos dons sont déductibles de l’Impôt sur le Revenu (à 75% jusqu’à 1000 € et 66% au-delà), de l’Impôt sur les Sociétés (à 60% dans le limite de 0,5% du CA). 

Retrouvez toutes les modalités de dons en cliquant ici

Chaque année, plus de 150 femmes et leurs bébés, nés ou à naître, sont protégés grâce à vous !

Krisna témoigne :

J’ai grandi dans un environnement difficile : ma mère est décédée lorsque je n’avais que 3 mois et malgré le fait que mon père m’ait reconnu il ne m’a jamais élevée.  Confiée à une tante, celle-ci me maltraite.

Dès l’âge de 7 ans, je suis placée dans un foyer tenu par des religieuses que j’aimais beaucoup ; j’y étais heureuse particulièrement aux côtés d’une de mes demi-sœurs paternelles. 

Alors que j’entre dans l’adolescence, une autre demi-sœur, du côté maternel, réclame ma garde depuis la France. C’est ainsi que je m’installe à côté de Paris à l’âge de 15 ans : les années qui vont suivre seront les plus difficiles. Je suis ballotée entre plusieurs membres de ma famille dont certains me dénigrent et me délaissent. Malgré cela je réussis à suivre une scolarité normale jusqu’en 1ère. Arrivée à l’âge adulte, ma situation administrative n’est toujours pas régularisée, je travaille pour des membres de ma famille sans rien obtenir en retour. 

Fin 2021, une nouvelle fois, on me menace d’être mise à la rue et c’est à ce moment que je découvre que j’attends un enfant. Le papa du bébé, avec lequel j’espérais construire une relation stable, ne sera pas présent : l’engagement luI fait peur. Malgré l’incertitude du lendemain, l’annonce de cette grossesse me remplit de joie mais je suis bel et bien à la rue fin janvier, un mardi, il fait froid. J’appelle le 115, il n’y a pas de places : je me promène avec une grosse valise pour montrer l’urgence de ma situation, même si cette valise est vide. 

Le jeudi enfin une lueur d’espoir ! 

Après de nombreux appels et beaucoup de refus, je cherche sur internet et contacte le numéro d’urgence de La Maison de Tom Pouce. Dès le lendemain une éducatrice vient me chercher dans une gare, je suis très bien accueillie : sur mon lit de la layette pour mon bébé et pour moi des produits d’hygiène. Ma nouvelle et belle vie commence enfin : ma situation administrative est en train d’être régularisée, je vais reprendre une formation à distance pour avoir mon Bac puis je créerai ma micro-entreprise dans l’immobilier. Chaque jour je prépare un peu plus l’arrivée de mon bébé. “